Et le cerveau, dans tout ça?

Hello chères ambitieuses !

J’espère que vous allez bien. Si ce n’est le cas, souvenez-vous que tout est passager et que vous avez en vous la capacité de remonter la pente.

Nous avons toutes un vécu, avons traversé des épreuves douloureuses, nous sommes relevées de nombreux chapitres parfois traumatisants, alors pourquoi nous arrive-t-il de douter?

Tout d’abord, sachez que personne n’est confiant tout le temps et en toute circonstance. C’est un mythe que l’on vend pour faire rêver On peut très bien être confiant pour escalader une montagne et douter de soi dans sa vie professionnelle par exemple.

Notre passé, nos traumas, nos blessures, mais également le fait que l’estime et la confiance en soi ne sont pas totalement enseignables font que nous nous perdons à un certain moment.

L’éducation peut faciliter l’assimilation des concepts d’estime et de confiance en soi, mais nous ne rencontrons pas uniquement des personnes bienveillantes et des situations mettent notre rapport à nous-mêmes à rude épreuve.

Notre cerveau enregistre plus facilement les éléments négatifs car son rôle est de nous protéger. C’est pourquoi, dès lors qu’une situation se répète ou nous sort de notre « zone de confort », nous sommes en alerte et confrontées à la peur. C’est alors que l’on se diminue et se sent incapable. 

La clef du changement ? Reparamétrer notre cerveau

Il s’agit de se déconnecter de ce que l’on sait déjà pour inculquer une vision plus bienveillante et optimiste à notre cerveau.

Comment ? La suite au prochain épisode!